Faudrait penser à demander à M BAYROU de rembourser les taxes non percues lors de sa campagne électorale où il roulait au Colza !

Plus sérieusement, diffusez cet article le plus possible autour de vous version pdf on ne plus continuer à marcher sur la tête ...

Il est interdit d'utiliser l'huile comme carburant pour les véhicules en Guadeloupe et pour les groupes e électrogène  .Dommage car on peut tirer de3 à 5kWh/litre d'huile. Cette energie pourait servir à recharger une voiture électrique ou alimenter une maison ? .On se demande pourquoi les voitures électriques font partie du passé ou d'un rêve avenir . Le jour où ce ne sera plus le cas se sera un cauchemar pour le fisc ! Mais ce jour n'arrivera jamais pour le particulier. On va développer ce type de technologie pour les administrations et le transport collectif et garder l'hydrogéne et ses stations de remplissage SHELL EXON ou TOTAL pour le particulier. Sinon comment nous taxer et nous rendre dépendant ? L'électricité n'est pas tracable et le soleil peut nous la donner gratuitement ! A moins qu'on nous oblige à faire le plein électrique par échange de batterie chargée à la station. Ainsi l'état et les ex pétroliers pourront prendre leur bénefs. Il va de soit qu'il sera impossible de charger ces batteries sois même. Pour vous en convaincre voir les 4 films de

"Qui a tué la voiture électrique ?"  -1-  -2-  -3-  -4-

Ouvrez bien vos oreilles et vos yeux, c'est invraisemblable ! On mérite bien la cata qui nous attend :

Finalement la voiture électrique va passer mais les jalons de la dépendance sont installés. Location des batteries; prix raisonnable en ce moment mais possibilité de taxer ce loyer dans un proche avenir comme pour le carburant. Utilisation des wallbox pour le chargement des batteries avec un tarif électrique différant et surtaxé sous peu. Profitez vite pour acheter des véhicules qui peuvent encore se charger sur une prise normale au tarif EDF de nuit. Bientôt ce sera un souvenir......de toutes les manières ne rêvez pas on nous tiendra toujours par la dépendance aux multinationales.